Belle et Sébastien 3 : le dernier chapitre est diffusé ce 26 décembre à 21h05 sur M6. Lors de la sortie du film, Clovis Cornillac, qui réalise et joue le grand méchant de l’histoire, nous explique comment et combien de chiens ont été dressés pour incarner sa star canine.
Après Nicolas Vanier (L’odyssée sauvage, Loup) et Christian Duguay (Jappeloup), c’est Clovis Cornillac qui réalise Belle et Sébastien 3 : Le dernier chapitre, qui clôt la trilogie adaptée de la célèbre série de Cécile Aubry. Une aventure qui a pris un an et demi de sa vie. En amont du tournage, il a travaillé avec le dresseur britannique Andrew Simpson, qui avait déjà préparé les Patous aux deux premiers volets de la saga. “Pour les animaux”, explique Clovis Cornillac, il faut de bons partenaires et j’en avais un extraordinaire en la personne d’Andrew. Sans lui, je n’aurais pas pu diriger les chiens.” Cette fois, le défi était d’autant plus difficile à relever que Belle est devenue maman de trois chiots aussi adorables que turbulents. Comme les Patous grandissent très vite, il a fallu prévoir pour le tournage plusieurs portées qui se sont succédées devant la caméra.
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Pour interpréter Belle qui donne (presque) la réplique au jeune Félix Bossuet, quatre chiens ont été nécessaires. Garfield, surnommé par son dresseur le “Brad Pitt des cabots“, est celui qui se prêtait le mieux au jeu des expressions. Quant à Ford et Fripon, deux superbes spécimens, ils se montraient très à l’aise dans les scènes physiques. Les trois mâles avaient déjà participé à Belle et Sébastien et Belle et Sébastien : l’aventure continue. Mais il a fallu leur adjoindre une femelle, répondant au doux nom d’Isabeau, pour les scènes où les chiots apparaissent aux côtés de Belle. Clovis Cornillac avait recours à l’un des quatre chiens en fonction de leurs spécificités. Comme il nous l’explique: “Garfield, c’est l’acteur star qu’on filmait dans la majorité des gros plans car on arrive à lui faire faire des mimiques, que ne feraient ni Ford ni Fripon, qui ne sont pas patients et que ça n’intéresse pas. En revanche, on pouvait les dresser pour les scènes physiques : tirer un traineau, sauter, courir dans la neige. Et puis j’avais une femelle, Isabeau, par ce que mettre des chiots à côté d’un Patou mâle, ça aurait pu être dangereux.»
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Trois mois et demi avant de tourner la première scène, Clovis a discuté avec le dresseur, pour savoir ce qu’il pouvait ou non demander aux chiens, puis définir les intentions de jeux et les actions de ses stars canines qui ont ensuite été spécifiquement dressées pour leurs scènes respectives. Le résultat a été à la hauteur de ses attentes : “Je ne voulais pas que Belle soit juste un chien posé à côté d’un humain, ni qu’elle soit Beethoven : ce n’est pas un chien qui parle, confie le réalisateur. Je voulais qu’on puisse lire sa complicité avec Sébastien. D’autant que dans certaines scènes, Belle répond à des états-d’âme.” Pas étonnant que dans le métier, on affirme qu’il n’y a pas de pire cauchemar pour un cinéaste que de diriger des enfants… ou des chiens !
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